vendredi 26 juin 2015

Se trouver puni d'être un bon père

Je pense être attentif aux enfants, notamment aux miens, les comprendre, respecter leurs désirs. Je suis outré par ces comportements de gens qui ne semblent pas les comprendre.
Ce qui a amorcé mon divorce, c'est le fait que ma "femme" punissait abusivement notre petite fille Camélia Croyal pour un simple trait sur une tapisserie. Je suis alors intervenu et j'ai eu la surprise de découvrir que ma compagne était alors une furie, ne supportant aucune contrariété. Et comme elle est d'origine marocaine, elle ne pouvait qu'avoir de son bord cette infâme justice rennaise familiale. J'ai donc été totalement disqualifié en tant que père. J'ai perdu l'autorité parentale et si, elle décédait, les enfants ne me reviendraient pas.  Je n'ai pas de mot assez fort pour qualifier l'infâme justice familiale rennaise ainsi que ses expertes es ragots et psyconnes en tout genre.

J'ai la chance d'avoir à nouveau des enfants comme écho à ceux perdus (une fille, un garçon, même signe astrologique, même écart d'âge entre les deux), enfants qui ne jurent que par leur papa. Le dernier qui a 17 mois a commencé à dire papa et... tracteur, pas maman (seulement ma-mam pour dire qu'il veut manger). L’aînée a même eu la délicatesse de naître mon jour anniversaire.
Mais est-ce que ce bonheur familiale que j'expérimente va durer ? Non, si j'en crois mon marquage qui consiste à être puni de ce que je fais de bien. J'ai eu en contact mail un québécois qui à l'école, étant le premier, se faisait quotidiennement battre par un frère pour que l’orgueil ne lui monte pas à la tête. Lui était donc constamment puni parce qu'il faisait bien, réussissait, en quelque sorte, une punition sans raison, voire préventive (péché d'orgueil). C'était le marquage catholique de son enfance. Le mien serait moins visible mais peut-être tout aussi existant.

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