samedi 1 août 2015

Racketter le français !

C'est le mot d'ordre de l'establisment français. Alors quand ils affirment que "la France, on l'aime où on la quitte", qu'ils aillent se tirer une balle dans la tête, cela fera une fripouille de moins sur le sol français ! On s'en portera d'autant mieux ! Mais ils sont trop couards pour passer à l'acte !

vendredi 17 juillet 2015

Si "S'intégrer, c'est se diluer"...

Si "S'intégrer, c'est se diluer" comme l'affirme Jacques Ravatin, nous avons alors encore une confirmation que la France, pays qui ne jure que par l'intégration, est véritablement foutue.

Cela va,  en effet, à rebours de la distinction, individu qui se concentre et donc se distingue.

Le féminisme est une escroquerie

Le propre de l'escroc est de, même pris la main dans le sac, de ne jamais reconnaître ses torts (à la différence du simple voleur).

Les féministes pullulent sur Rennes : juges des affaires familiales, expertes Es Ragot, psyconnes... On peut même soupçonner qu'elles agissent en bandes organisées. Mais chance pour elles, elles sont au-dessus des lois. Aucun tribunal, surtout en France, pour les juger.

Ce n'est pas une raison pour ne pas porter un jugement sur leur forfait. Ce n'est pas une raison pour ne pas fermer sa gueule.

Je viens de comprendre l'ancrage de ce courant féministe qui veut mettre de l'ordre dans le monde, ordre en remettant l'homme à sa place, c'est à dire en situation d'esclave de leur forfaiture.

Mais ces " mêmes pas belles"  salopes (catégorie d'analyse dans laquelle je les classe, subtilité de conception qui les dépassent) qui s’illusionnent travailler (ainsi les juges qui jugent qui brassent un vent merdique) ne sont absolument pas capable (ceci expliquant cela) de reconnaître que certaines d'entres-elles sont capables de forfait égard à la gente masculine qui pourtant se comporte correctement. Ainsi en es-t-il du drame du garçon invisible.

Que cela soit le féminin qui ordonne le monde, je pense que cette conception viens d'extrêmement loin et tend à être occultée. Le féminisme surfe donc sur cette vague mais n'a au fond rien à voir avec la profondeur d'où cette conception est issue.

Ce n'est pas la peine pour des féministes de continuer à lire ce post, c'est au-delà de leur entendement ! Prolonger la lecture, c'est déjà avoir quitter ce clan de connasse, connasse au sens du mot "con"-cône, forme sur laquelle tout glisse, forme dans laquelle rien ne rentre vraiment. Ainsi le con qui désigne le sexe de la femme, con qui donne seulement l'illusion qu'elle comprend, mais qu'au final, rien ne change pour elle, de rejeter ce qu'on croyait qu'elle avait compris. C'est grâce à ce processus que l'on naît et que les enfants, comme les romains l'avaient compris, ne sont pas à rendre légalement dépendant de la femme. Mais comme la loi est désormais faite par des abrutis, rien ne doit plus nous étonner.

Je pense, qu'en toile de fond, une ancienne conception atomique dans laquelle a-tome est compris comme, non pas "plus de portion" (a privatif) mais comme portion de A, alpha, de l'océan des A. Ces atomes sont considérés de nature masculine et sont des fouteurs de merde. Ils font que cela accroche, que rien ne se déroule comme lorsqu'on aimerait. Ils incarnent "la méchanceté des choses". Ces atomes se représentent comme un 1 crochet, différent donc du I romain pour dire un.

C'est le masculin facteur de merde dans toute sa splendeur. En opposition, nous avons les saintes électres féminines, électres qui éclairent le monde par l'intérieur. Elles sont dites au nombre de trois : EU, E & U soit, à la lettre diEU : deux fois EU, une fois ensemble (EU) et une fois séparé (E & U).

Le vulgaire jeu de 54 cartes expriment cette conception atomique antique, à ce jour non révélée. En faites, nous avons 55 cartes mais la 55ième carte n'est pas considérée comme carte à jouer. Cette carte est en trop, elle bloque le jeu. Sa libération libère donc 54 cartes à jouer et donne le nom au jeu. On jette EU (c'est son nom, nom de cette 55ième carte) pour obtenir le J'EU de 54 cartes.
Eu veut dire "bien" mais par excès veut aussi dire "trop" : ainsi le mot eutrophisation pour dire "qui nourrit trop bien".

Si l'on observe un des ordres initial mis dans le jeu de carte neuf, on constate que la libération de la carte maîtresse, donc de la carte "EU", libère la totalité du flux rouge (coeur et carreau) formant alors un rectangle : plus de jeu. La libération d'un joker libère alors un demi-flux noir, idem pour le second joker. Chaque joker fait donc la moitié du boulot de la carte maîtresse et peuvent être respectivement appelé E et U. Nous avons donc là nos électres EU, E & U.

Les électres libérées, le désordre s'installe alors parmi des atomes qui, parait-il, serait au nombre de quatre (I, S, R & O). C'est en tout cas auquel font écho les quatre familles du jeu de 54 cartes : coeur, carreau, trèfle et pic.

C'est ici littéralement de la stéganographie, quelque chose que l'on a sous les yeux depuis des siècles mais qu'on ne voit pas. Il fallait bien sûr tordre le cou à un gars comme moi susceptible de mettre le doigt sur l'aveuglement collectif. C'est à quoi s'est attardé mon "ex" falsificatrice appuyée par l'infâme Justice familiale rennaise et sa meute d'attardés mentaux. J'ai donc été assassiné socialement, totalement privé de mes enfants. J'ai donc même perdu l'autorité parentale. J'ai aussi alors supprimé mon blog, blog dans lequel je ne me gênais pas pour critiquer cette raclure de tiroir incapable d'imaginer l'existence d'une lumière endogène, seulement limace totalement dépendante de la lumière sociale, pensant qu'on ne peut exister sans elle.

Je suis la preuve du contraire, reviens à la charge pointer du doigt leur crasse nullité. Alors totalement privé de mes deux enfants, j'ai vu une famille se reconstituer avec, jour de mes 55 ans, la naissance d'une petite Josicka suivie, 22 mois après, d'un petit garçon. Comme pour la première fois. Curieusement, ces enfants sont fous de moi alors que je ne fais rien de spécial. Enfin, je ne les considère pas comme mon prolongement comme les pays sous développés le font (France incluse avec son système de retraite payé par les actifs) ; mais j'étend leur champ d'action en comprenant ce qu'ils veulent faire et ce que je leur permet alors de faire. Ainsi le petit maintenant de 1 an et demi de venir me chercher par la main pour telle ou telle opération. J'ai été privé de famille par la nullité rennaise et je suis à nouveau doté d'une famille.

D'une certaine manière, il y a donc une justice mais qui n'est pas étatique, une justice alors que mon "ex" considérait qu'il n'y avait de justice ni dans la vie, ni dans la mort, et que donc, pour elle, tout était permis. En cela elle est en accord avec la nullité qui nous lieu d'intellectuel en France. Elle ne pouvait qu'être totalement soutenue par l'extension de cette nullité qui s'étale dans les Palais de Justice de l'infâme République française.

Curieusement, les trois premières lettres du prénom de ma compagne (pas une française) sont L O I, de même que le prénom du fiston. Ce n'est d'ailleurs que maintenant que je me rend compte de cela. La loi est revenu dans ma vie faire justice. Il ne reste qu'à mettre leur nez dans leur caca toute la fripouille qui a voulu définitivement ma peau. Le dire, c'est déjà commencé l'opération. Mes moyens présents ne me permettent aucune action pour les ridiculiser définitivement, laissons faire le temps.

Pour revenir à notre lumière intérieure, à diEU, disons que celle-ci ordonne le monde qualitativement, c'est à dire de manière indéfectible. Elle accouple, met sous le joug. Ainsi diEU-Jupiter, Jupiter pouvant être compris comme étant "le père du joug (jug)". C'est un joug qui empêche l'écartement mais aussi un effondrement l'un sur l'autre, joug qui permet ainsi la conservation de l'individualité des deux éléments ainsi appareillés.

Il est évident que la soit disant intelligentsia française est à mille lieux d'avoir compris le monde de cette manière.

L'écrit, parole qui se fait chair, devait être initialement perçu comme expression de la divine trinité (EU, E & U), ainsi les trois doigts qui tiennent la plume.
Avec les claviers 104 touches, l'on est à l'autre bout de la chaîne. C'est le règne de la chimie et du tableau de Mendeleïev, c'est le règne du quantitatif (le 1 crochet qui avec l'irruption du zéro chasse le I romain), c'est le règne de la résultante qui se prend pour le maitre et cherche à occulter totalement ce dernier qui présentement est lumière électrale. Celle-ci a été reproduite par un français mis à sa mort en fosse commune. Une personne ayant entrevue cette lumière (la porte de son laboratoire secret étant restée entrouverte) a été marqué à vie par ce qu'elle aurait aimé ne jamais voir : ce sont les objets qui semblaient eux-mêmes éclairer.

Le monde atomique moderne ne peut donc être qu'hostile à cette lumière qui lui échappe. Il abandonne l'écrit manuscrit, plume tenue par trois doigts pour promouvoir sa résultante illustrée par le clavier moderne. C'est l'expression d'un monde à l'envers.

Curieusement, je dois être un des rares au monde qui pense à promouvoir une façon d'écrire qui n'utilise que trois doigts sur, au total, trois touches. Ce qui fait donc écho à notre divine trinité. Pour l'instant, certes, j'utilise encore un clavier standard, mais il suffit que je travaille encore un petit peu sur mon prototype pour que cela devienne réalité. Est-ce que cela seras viable ? Je n'en sais rien. Je peux par contre sans problème me rabattre sur 6 touches (écho alors à EU dextre, E dextre, U dextre, EU sénestre, E sénestre, U sénestre), ce que je maîtrise parfaitement depuis des années mais, peut-être pour cause de neutralisation inconsciente, cela n'a eu aucun effet quand à mes concrétisations. Là, pour la première fois, je réalise mon propre clavier...

Qu'est-ce que toutes ces connasses qui m'ont expertisé, jugé, ont réalisé dans leur vie ? Qu'ont-elles fait à part emmerder l'homme ? Et ce dernier est assez con pour faire couvreur et assurer l'abri de celles-ci. Pour ma part, lorsque j'ai appris que mon patron avait négocié la réfection d'un toit avec une juge, j'ai ainsi eu le signal d'arrêt de ce métier que j'exerçais alors. Il est inconcevable d'assurer l'abri de telles connasses. Le faire, c'est être maso.

L’émergence d'une façon renouvelée d'écrire semble soulever tout un tas de merde qui nous étouffe, à savoir le féminisme et consorts qui, sans mot dire, le soutien.

Mettre au pas le masculin n'est pas du ressort d'un tas de connasse mais le propre de la lumière électrale, celle-ci étant très loin d'éclairer la moindre parcelle du cerveau de celles qui pourtant s'en pensent doté. A chacun ses illusions ! Le féminisme est donc une imposture et ne pouvant être reconnu telle par ses promoteurs, il devient du même coup une escroquerie.

Ils n'imaginent pas la haine que l'on porte à l'Etat français

Ils, ce sont nos zozautorités, et notamment tous ces salopards qu'on appel juge (généralement des femmes) qui nous jugent, incroyable toupet, au "Nom du Peuple français".
Mais il faut rester sous contrôle, ne pas faire de vague. A quoi bon ameuter une bande d'escrocs (personnes qui même prise la main dans le sac-à la différence d'un simple voleur-, ne reconnaîtront jamais leurs torts) ?

"Tiens toi tranquille !" a toujours été le discours de mon père à mon égard durant les études. En fin de celles-ci, publication à 800 mille exemplaires des conclusions du mémoire de fin d'étude.

Naturellement un scienthypocrite, un salopard de scientifique étatique m'est tombé dessus me demandant de me dédire, sinon... fermeture des portes de l'emploi. J'ai quand même eu la chance de très peu contribuer à engraisser ces salopards que sont les autorités françaises, structure d'occupation par l'intérieur.

J'ai 58 ans et ne suis toujours pas guéri de ma révolte contre ces salopards qui représentent l’establishment français.

Mort à la France, France à rayer de la carte mondiale... Mais pas besoin de faire quoi que ce soit. En effet, ils sont tellement cons qu'ils conduisent directement la France à la déchéance. Et c'est tant mieux ! C'est quand même merveilleux d'être régenté par de tels abrutis.

Il faut penser à soi, ne pas commercer (car automatiquement, ce sont des taxes qui les engraissent). Il ne faut pas être maso, donner des bâtons à ceux qui nous tabassent continuellement pour un niveau de vie qu'ils n'ont absolument pas mérité.

samedi 27 juin 2015

Continuer à faire malgré le sentiment de non succès public à l'arrivée

Persister malgré le sentiment que l'on va droit dans le mur. C'est vraiment curieux comme attitude. Cela témoigne que l'espoir persiste et que l'on a toujours pas compris la nature de l'obstacle. Persister à continuer à aller droit dans le mur, c'est aussi une façon de faire pour tenter appréhender l'obstacle.
C'est comme cogner sans relâche sur une souche pour tenter de l'extraire du sol. Sous les coups, rien ne bouge. Il faut cogner plus fort... Mais le résultat est, en apparence, le même. Mais, à un certain moment, à force de cogner, l'on fini par avoir un résultat, faire un peu bouger ce qui semblait indéracinable.
On peut considérer que le fameux clavier azerty est de même nature qu'une souche ancrée dans le sol... Il semble indéracinable. Et moi pourtant de m'y attaquer régulièrement. C'est comme une peine perdue. Et pourtant, je persiste. Ainsi, présentement, de tenter de réaliser physiquement mon propre clavier disposant de seulement quelques touches bien que je pense, qu'à l'arrivée, cela n'intéressera personne. Mais cela me fera une expérimentation de plus. C'est pour moi l'aspect positif qui prévaut.
C'est comme, également, continuer à écrire. Ainsi ce nouveau blog. Je ne pense pas en faire de la publicité, signaler à autrui son existence. A mes yeux, ce que j'écris ne peux avoir d'intérêt pour le lecteur. J'y vois seulement une expérience d'expression qui me permet de me structurer en couchant noir sur blanc ce qui me traverse la tête. Qu'un jour, cela bouge, que des lecteurs se signalent, cela me semble de l'ordre de l'impossible. Ce n'est pas pour cette raison que je dois m'arrêter d'expérimenter.
Peut-être qu'un jour, d'introduire un petit plus qui fera la différence, fera qu'autour de mon clavier, qu'autour de mon écrit, cela commencera à bouger.  Qui sait ?

vendredi 26 juin 2015

Se trouver puni d'être un bon père

Je pense être attentif aux enfants, notamment aux miens, les comprendre, respecter leurs désirs. Je suis outré par ces comportements de gens qui ne semblent pas les comprendre.
Ce qui a amorcé mon divorce, c'est le fait que ma "femme" punissait abusivement notre petite fille Camélia Croyal pour un simple trait sur une tapisserie. Je suis alors intervenu et j'ai eu la surprise de découvrir que ma compagne était alors une furie, ne supportant aucune contrariété. Et comme elle est d'origine marocaine, elle ne pouvait qu'avoir de son bord cette infâme justice rennaise familiale. J'ai donc été totalement disqualifié en tant que père. J'ai perdu l'autorité parentale et si, elle décédait, les enfants ne me reviendraient pas.  Je n'ai pas de mot assez fort pour qualifier l'infâme justice familiale rennaise ainsi que ses expertes es ragots et psyconnes en tout genre.

J'ai la chance d'avoir à nouveau des enfants comme écho à ceux perdus (une fille, un garçon, même signe astrologique, même écart d'âge entre les deux), enfants qui ne jurent que par leur papa. Le dernier qui a 17 mois a commencé à dire papa et... tracteur, pas maman (seulement ma-mam pour dire qu'il veut manger). L’aînée a même eu la délicatesse de naître mon jour anniversaire.
Mais est-ce que ce bonheur familiale que j'expérimente va durer ? Non, si j'en crois mon marquage qui consiste à être puni de ce que je fais de bien. J'ai eu en contact mail un québécois qui à l'école, étant le premier, se faisait quotidiennement battre par un frère pour que l’orgueil ne lui monte pas à la tête. Lui était donc constamment puni parce qu'il faisait bien, réussissait, en quelque sorte, une punition sans raison, voire préventive (péché d'orgueil). C'était le marquage catholique de son enfance. Le mien serait moins visible mais peut-être tout aussi existant.

Sous-traiter celui qui fait la différence

Je pense que c'est dans l'ambiance, maltraiter celui qui fait la différence. Pourtant, celui qui fait la différence, c'est celui qui va aller plus loin, va mettre à disposition une information inédite ou des éléments qui, sans lui, serait restés inaccessibles.
Je viens d'en avoir un exemple cet après-midi. Dans le cerisier, plein de cerise, mais elles étaient quasi inaccessible, notamment sur une grosse branche éloignée. Je tombe alors sur la tronçonneuse de mon voisin. J'ai donc l'idée de couper ce gros quartier chargé de cerise, quartier dont les cerises seront toujours inaccessibles. Et voilà, plein de cerise très accessibles même pour les tout petits.  Le seul du groupe susceptible de réaliser une telle opération (manipuler une tronçonneuse en hauteur sur une échelle en équilibre sur des branches), c'était moi malgré des genoux hors services
Le soir, pour cause de fatigue excessive probablement lié à l'état de mes genoux, ayant du mal à supporter le fiston de 17 mois criant sans cesse, j'ai choisi l'option de le promener dehors après lui avoir fait avaler son potage. J’espérais que le reste de la tribu aurait mangé à mon retour, se serait occupé du petit, et qu'ainsi j'aurai pu manger tranquillement.
Mais non, ma copine m'a cherché dehors et, une fois rentré, j'avais les genoux en feu, devant être allongé et réconforter la petite de 3 ans qui avait alors pleuré l'absence de son père et de sa mère, ma copine. Résultat : je n'ai pas mangé.
Ainsi grâce à mon effort, des kilos de cerises ont été cueillis et j'ai été puni, comme privé de repas, ce qui n'arrive jamais.
Il y a donc bien un sous-traitement de celui qui fait la différence. C'est dans les murs, de ces murs qui me retiennent prisonnier depuis des décennies.
J'ai, comme mémoire de fin d'études (en 1979), fait un travail remarquable. Les conclusions ont d'ailleurs été publiées à 800 mille exemplaires, ce qui m'a valu la fermeture de l'emploi (il aurait fallu sinon que je me dédise, exigence d'un membre de l'INRA). Et comme en punition de mon travail, la réquisition pour la servitude huMilitaire dont j'ai pu m'extraire grâce à un accident du genoux gauche (rupture des ligaments croisés), handicap à vie agrémenté d'une pension de guerre.

Comment mettre fin à une telle fatalité ?